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Le monstre du Loch Ness et le Yeti existent-ils vraiment (Doit-on croire à ce que l'on ne voit pas) ?
Le musée cantonal de zoologie de Lausanne accueille un « Département de cryptozoologie ». Il étudie l'existence ou pas d'espèces animales extraordinaires, sur la base de preuves concrètes (films, photos, empreintes, enregistrements de cris, poils, plumes, etc.).
Ainsi, les hommes ont longtemps cru que le calamar géant était une espèce légendaire issue de l'imagination des marins scandinaves... jusqu'à ce que des spécimens morts soient retrouvés sur les plages et que l'espèce soit officiellement reconnue et nommée par les zoologues.
Et le monstre du Loch Ness ? Et le Yeti ? Et la licorne ? Qu'en disent les scientifiques et les spécialistes des religions ? Doit-on croire à « ce que l'on ne voit pas » ou est-ce dangereux ?
But de cette chronique : les cryptozoologues, qui sont de vrais scientifiques, nous apprennent à « continuer à croire en ce que l'on ne voit pas ». En clair : la science apporte des réponses à ces questions étranges, même si il lui faut parfois du temps. Ainsi, on a longtemps cru que les aurores boréales étaient des phénomènes surnaturels avant que la science n'en explique le fonctionnement.
Tout en gardant une approche cartésienne, la science et les religions nous encouragent tout de même, parfois, à rêver et à croire... à l'inexplicable.
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